Jean-Claude Vignoli

Jean-Claude VignoliAprès plusieurs années en Afrique, je parcours actuellement l’Amérique Latine, résidant chez plusieurs peuples autochtones, comme les Bri-bris au Costa Rica, les Kogis en Colombie, les Qeros au Pérou, les Uchupiamonas en Bolivie, les Guaranis au Paraguay. Je suis passionné d’archéologie et d’arts antiques, mais ne rechigne pas à essayer de comprendre la physique quantique ou l’art moderne. J’aime la littérature et la philosophie raffole du cinéma qui fait rêver intelligemment. J’aime le présent et le passé, car le futur nous concerne tous.

Aujourd’hui, je suis journaliste freelance (2020-), donnant la parole aux communautés marginalisées, notamment les peuples autochtones. Je suis également consultant international en matière de sécurité physique (2023-), aidant les activistes à poursuivre leurs objectifs sans se mettre en danger. J’ai un master en relations internationales du Graduate institute (2001-2005), et suis l’ancien directeur des programmes d’UPR Info (2008-2017), une ONG internationale de droits humains que j’ai cofondé. J’ai aussi été responsable national au sein de l’ONG EAGLE (lutte contre le trafic d’animaux protégés en Afrique, 2017-2019). Dans cette fonction, j’ai été chargé de l’infiltration de réseaux criminels pour mettre fin à leurs activités illégales. J’ai été membre du Comité des Verts de la Ville de Genève (2011-2012), en Suisse. En qualité de journaliste bénévole et militant pour la section suisse d’Amnesty International (2010-2013), j’ai organisé de nombreuses actions pour dénoncer la peine de mort et la torture partout dans le monde. Enfin, je suis l’auteur de Pour une poignée d’ivoire (2023), un livre témoignant de mon expérience du contre-trafic d’espèces animales en Afrique.

Je mène les combats éthiques et pratiques, c’est-à-dire ceux pour lesquels mon action peut faire une différence pour les plus défavorisés, humains comme animaux.

Florilège de publications :

Pour une poignée d’ivoire (Livre, Editions Favre, 2023)

La balle aux prisonniers, un ONG peu commune (sport et droits humains, Echo Magazine, 2022, pdf)

Les cholitas luchadoras (sport et culture, Le Temps, 2021)

Les missions jésuites du Paraguay, une utopie? (Culture, histoire, Echo Magazine, 2021)

Les autochtones marchent pour le respect de leurs terres en Bolivie (Interview, autochtones, Ikewan 2021)

Daniel Chappuis, un viticulteur suisse entré dans la légende en Bolivie (Portrait, Echo Magazine, 2021, pdf)

Caral, 5000 ans d’histoire en péril à cause de Covid-19 (Archéologie, Heidi.news, 2021, pdf)

Eva Copa, le nouvel espoir d’El Alto (Politique, Le Courrier, 2021, pdf)

Les jardins de l’émancipation (Société, Le Courrier, 2021, pdf)

L’enfer doré de l’Altiplano péruvien (Société et Environnement, Le Courrier, 2020)

Les Kogis, entre tradition et modernité (Peuples autochtones et environnement, Ikewan, 2020)

Le grand dirigeant des Mochicas était… une femme ! (Archéologie, L’Echo Magazine, 2020)

L’enseignement du peuple autochtone des Kogis face aux défis climatiques (Peuples autochtones et environnement, Heidi.news, 2019)

The Butterfly Effect – Spreading good practices of UPR implementation (Human rights, UPR Info, 2016)

Des géants décimés pour une poignée d’ivoire, les dessous de la réalité du braconnage (Environnement, Le Temps, 2015)

Beyond Promises – the impact of the UPR on the ground (Human rights, UPR Info, 2014)

On the Road to Implementation (Human rights, UPR Info, 2012)

Les coulisses du régime Khadafi, interview d’Idris Aboufaied (Droits humains, Amnesty International, 2009)

Droits de l’homme à l’UPR; Une France au-dessus de tout soupçon ? (Droits humains, Comes4news, 2008)

Russie: « Tout est verrouillé depuis le haut », interview d’Oxana Chelysheva (Droits humains, Amnesty International, 2008)

Hyperdémocratie.com – comment nos superdémocraties sont devenues hypermémorielles (Essai, Sciences politiques, NTIC et sociologie, 2007)

Les conséquences de la mort de Milosevic (Politique, Agoravox, 2006)

Du ton

Ce blog mélange les genres, les sujets, et peut sembler parfois en décalage. Il est osé de mélanger les tons, car le risque est de ne pas être pris au sérieux. Je vois cela comme une erreur, le monde est complexe et la séparation n’a de sens que si l’on rassemble ce qui est épars. Mes centres d’intérêts sont multiples, pour la simple et bonne raison que la vie est courte. Très courte.

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