“L’homme est un loup pour l’homme”
Sans vouloir entrer dans les détails de l’histoire humaine, je ne pense pas que cela soit nécessaire, je voulais simplement faire remarquer que depuis que l’homme existe et s’est organisé en société il a commencé à être violent gratuitement. Certains violentologues situent cela 7000 ans avant JC. Très discutable mais bon, là n’est pas la question.
Je crois aussi que tout le monde est d’accord pour dire que la situation de violence que l’homme ne cesse de créer n’est pas propice à son bon développement. Il est donc toujours souhaitable que les conflits soit régler de manière pacifique. Pour cette raison l’être humain a inventé différentes institutions ou système de règlement de conflit.
Je dois dire ici que j’ai un post-grade en gestion de conflit, je me fais donc défenseur du droit et de la paix. Je prône toujours, et je prônerai toujours les solutions pacifiques.
Pourquoi je vous raconte ça?
Simplement car depuis quelques jours un conflit a débuté entre deux hurluberlus (guillaume et clément) et moi-même. C’était un conflit verbal, rien de méchant, un truc qui arrive tous les jours dans la vie de tout le monde.
Après quelques échange et explications les relations se sont tendues et les deux membres du “clan” argentins ont commencé à faire des alliances pour mener un conflit armé. De suite j’ai proposé une solution négociée, pacifique, proposant diverses médiations. Leur parrain les a même désavoués, ne voulant pas suivre la bêtise humaine. Plus mature.
Alors voilà , sachez que si j’arrête d’écrire ce n’est pas parce qu’une guérilla m’aura enlevé ni que les paramilitaires m’auront découpé, c’est simplement que deux individus, reproduisant le cercle vicieux de la nature humaine auront réussit à me faire “péter”.
Il y a des jours comme aujourd’hui où je me dis que mon travail ne sert vraiment à rien, que c’est peine perdue…
Merci quand même à Patxi et Monie de leur soutien (temporaire pour Monie..), quant à moi je pars demain me ressourcer dans les montagnes, voir les rivières et penser que l’eau qui coule devant moi voyage jusqu’à la mer…
