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Une magnifique histoire, triste et tout mais avec un final où la justice gagne comme dans les films. à‡a se passe sur histoire de voyageurs et c’est raconté par Maikon:

Lors de mon séjour labourable en France, où je travaillais comme professeur assistant de portugais, j’ai souvent souffert du racisme. Dès les premiers mots que j’ai échangés avec ma professeuse superviseure (appelée dorénavant tout simplement « la Vache »), j’ai su que la coexistence entre nous n’allait pas être simple.

Le 4 octobre, vers 8h, je suis arrivé au collège où j’allais travailler pour faire signe que j’étais là . Je me suis présenté au directeur, à  mes futurs collègues et à  ma professeuse superviseure, à  qui, hypothétiquement, je devais aider. Moi, voulant lui donner une bonne impression, j’ai utilisé toute la sympathie qu’a pue m’inculquer ma culture brésilienne. Notre première conversation a pourtant été ainsi :

Moi : Bonjour, Madame. Enchanté de faire votre connaissance.

La Vache : Bonjour.

M : Je voudrais me présenter. Je suis votre nouvel assistant de portugais langue étrangère.

V : Ah, vous êtes donc Maïkon, n’est-ce pas ?

M : Oui, Madame.

V : Avant tout, sachez que vous êtes là  pour m’aider, pas le contraire. M’aider avec n’importe quoi n’importe comment n’importe quand. J’ai déjà  eu plusieurs assistants et tous m’ont causé beaucoup de problèmes, surtout ceux qui étaient brésiliens, car ils étaient tous des paresseux et incompétents. J’espère que vous ne le serez pas.

M : Ben… (quoi dire dans une situation pareille ?)

Moi, j’ai dû pensé à  basse voix : Maïkon, sois le bienvenu, putain !

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Carla Bruni choque la Colombie

Ou plutôt son gouvernement…

Sa photo à  poil avait déjà  fait la une ici… la revoilà , mais cette fois avec une note de protestation diplomatique. Via libé:

La chanson “Tu es ma came”, figurant sur le prochain album de la Première Dame de France contient une référence à  la cocaïne colombienne. Ce texte a profondément irrité Fernando Araujo, le ministre des affaires étrangères.

Le ministre colombien des Affaires étrangères Fernando Araujo a protesté jeudi à  Bogota contre le texte d’une chanson de Carla Bruni, l’épouse du président Nicolas Sarkozy, évoquant la cocaïne colombienne.

«Tu es ma came/Plus mortel que l’héroïne afghane/Plus dangereux que la blanche colombienne», chante Carla Bruni dans son dernier album, qui doit sortir le 21 juillet. «Dans la bouche de l’épouse du président français, cette affirmation est très douloureuse pour la Colombie», a affirmé le ministre colombien.

«Nous déplorons la consommation de drogue colombienne quel que soit le scénario et à  n’importe quel niveau. Cette consommation se traduit par des morts et la violence en Colombie, et au lieu de faire l’apologie de cette consommation, nous attendons que le monde entier nous aide dans la lutte contre les drogues», a ajouté le ministre. «Ces choses se produisent lorsque l’on mélange la politique et le spectacle», a conclu M. Araujo.

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France-Colombie: 1-0

Le match de mardi n’a pas brillé par son niveau, un but, pourri qui laisse amer les colombien… Le seul que j’ai trouvé bon c’était le gardien colombien. Enfin les Français devront se bouger un peu pour battre les italiens à  l’Euro.

Mais selon mes sources le public était bon, alors c’était bien quand même!! Voici quelques photos d’un lecteur sympathique, Didier:

Le foot colombien

Aujourd’hui se joue un match amical France/Colombie et pour l’occasion l’équipe a publié un article sur le foot colombien. Difficile de changer l’image et les a priori sur le Colombie lorsque même L’Équipe s’en mêle. Même si c’est vrai et j’en parlais déjà  vaguement une fois, on aurait surement préférer un article sur les bienfaits du foot pour la réintégration des paramilitaires ou pour aider les jeunes a sortir de routine… enfin à  lire quand même

«Hé ! Fils de p… si tu continues à  te mêler de ce qui ne te regarde pas, on va t’envoyer une moto !» Pas besoin d’en dire plus par téléphone. L’allusion aux sicarios, tueurs professionnels, est bien réelle. La menace figure, avec un chapelet d’intimidations, étalé sur quatre pages, dans la plainte contre X, le 25 mai 2006, déposée par Carlos Gonzalez Puche, avocat à  la cour et premier défenseur des footballeurs professionnels colombiens. Deux ans plus tard, les appels anonymes nourrissent toujours le quotidien de Puche, lui-même ancien footeux professionnel, dans les années 80, à  l’America de Cali et Millonarios, deux des plus prestigieuses équipes de Colombie, jadis aux mains des cartels de la drogue. Du milieu du foot, de ses dirigeants, passés ou actuels, le ”maestro” connaît toutes les combines. Pots de vin, blanchiment d’argent, fausses déclarations, enrichissement illicite, trafic de billets, ventes truquées de joueurs et une série de règlements de compte qui ensanglante jusqu’à  l’infini. L’arsenal est vaste. Il ne laisse que peu de latitude aux joueurs, «traités comme du bétail et je suis bien placé pour en parler.» Aussi, quand Mario Yepes (Paris SG) et Ivan Ramiro Cordoba (Inter Milan) lui ont proposé, il y a quatre ans, de devenir le représentant légal de leur profession, régie depuis par une Association en règle (Acolfutpro), Carlos Gonzalez Puche s’est senti obligé d’accepter, «pour défendre nos droits, notre liberté et l’honneur de nous tous.»

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En 2006, Gustavo Upegui, le président de l’Envigado FC, un club de Medellin, impliqué dans des opérations opaques avec les paramilitaires, groupe d’autodéfense d’extrême droite, l’élite du crime organisé en Colombie, a été assassiné. En 2006 encore, Carlos Martan, un dirigeant de la fédération colombienne de football, soupçonné de connexion avec le narcoterrorisme, a été placé sur la liste Clinton, une loi promulguée à  l’initiative de l’ancien président des Etats-Unis pour éradiquer le fléau de la coca. En 2007, Eduardo Mendez, le président de Santa Fe, le club doyen du championnat, a été extradé vers les Etats Unis, pour trafic et collusion avec les paramilitaires, ennemis jurés des FARC.

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Le gouvernement a toujours nié la présence des paramilitaires dans le football mais il y a huit mois, il s’est fait clouer le bec. Sur les ondes des radios nationales, les Colombiens ont pu écouter un enregistrement pirate d’une conversation téléphonique entre Rodrigo Tovar, alias ”Jorge 40”, l’un des grands leaders paramilitaires, et un dirigeant du Valledupar FC, un club de Seconde Division. De quoi discutaient les deux hommes ? Jorge 40, extradé lui aussi le 13 mai dernier vers les Etats-Unis, expliquait à  son interlocuteur, qu’il pouvait lui «obtenir des joueurs de bon niveau, à  un bon prix et à  tous les postes, en provenance de l’America de Cali ou du Real Cartagène. Dans le Valle, nous avons les meilleures écoles de formation du pays, tu pourras choisir. Et sur un plan personnel, le Real Cartagène me doit bien ça. Tu auras les joueurs que tu voudras.» L’allusion de Jorge 40, qui fait coucher et lever le soleil au Valledupar FC, n’est pas innocente. Deux ans auparavant, le club de son coeur s’est laissé écraser par le Real Cartagène, encaissant quatre buts dans les cinq dernières minutes pour permettre à  ce dernier d’accéder à  la Première Division. Le résultat a été validé par la fédération sans sourciller. A la Direction Générale des Stupéfiants, barrio Chapinero, un quartier très populaire, au coeur de la capitale, Carlos Albornoz, le Directeur Général, ne peut nier l’évidence. Mais il assure qu’en Colombie «tout se fait plus lentement qu’ailleurs, que les uns après les autres les hors-la-loi tombent et qu’avec le temps, le pays se porte mieux.»

Les FARC: la fin, enfin?

La situation colombienne a beaucoup évolué ses derniers temps. Depuis un peu moins d’une année les forces publiques ont réellement pris l’initiative sur la guérilla des FARC. L’année dernière les militaires commençaient à  pouvoir attaquer les campement de la guérilla de manière un peu plus directe qu’auparavant. La mort du “negro Acacio” débutait alors une série de coup fort, celle de Reyes, numéro 2 des FARC démontrait encore plus cette nouvelle capacité militaire. Ces progrès s’expliquent facilement à  travers plusieurs éléments: le premier et probablement le plus important est la réforme de l’armée entamée par le Président Pastrana (1998-2002). Ensuite le Plan Colombie a apporté à  l’armée colombienne des moyens qu’elle n’aurait jamais pu imaginer sans l’aide américaine, principalement en terme de mobilité, élément fondamental pour une lutte contre une guérilla. Le troisième élément, qui pourrait expliquer ces nouvelles victoires est une coordination de l’intelligence militaire. Au début 2007 le ministère de la défense a embauché un groupe d’anciens militaires israéliens chargé de compiler et d’analyser les informations des forces publiques. Jusqu’à  leur arrivée l’armée colombienne avait les moyens d’attaquer et la technologie adéquate mais bien souvent pas la formation. Intéressant de voir que les US n’ont fourni qu’une formation médiocre pour l’utilisation de leur matériel.

La politique de “sécurité démocratique” préparée par président Uribe a commencé à  avoir de réels effets, non seulement le repli de la guérilla un peu plus loin, à  partir du moment où les différentes forces ont commencé à  travailler ensemble et à  partager leurs informations.

A partir du moment où l’armée commence à  démontrer sa supériorité de manière claire, il est normal de voir des pans entiers du groupe armé s’effondrer. Les guérilléros, qui bien souvent sont membres depuis plus d’une vingtaine d’années ne voient plus le bout de leur combat, une possible victoire devenant impossible. La mort d’Yvan Rios, membre du secrétariat, trahis par un de ses homme démontre en partie ce désespoir. La démobilisation de Katrina, la femme la plus haut placé chez les FARC, est encore plus fort dans sa symbolique.

Les FARC s’épurent, ils disent vouloir revenir à  un groupe plus restreint, plus mobile et plus sûr. Leur stratégie de repli serait donc en train de fonctionner malgré eux. Au milieu de ce contexte peu favorable pour leurs affaires, la mort supposée de leur leader historique, Tirofijo, peut modifier leur plan. S’il est vrai qu’on peut douter de cette mort, ce n’est pas la première fois et les FARC peuvent vouloir le faire passer pour mort pour assurer un meilleur repli, on peut croire que de toute façon du haut de ses 78 ans (dont 60 en guerre) Tirofijo ne soit plus vraiment capable de diriger le groupe armé.

La nouvelle tête des FARC, Alfonso Cano, est réputée brillante et plus politique, il serait donc judicieux de penser à  une proposition de négociation intéressante. Le gouvernement, qui doit de toute manière continuer son travail armé, a une opportunité probablement historique de négocier avec les FARC. Uribe l’a bien compris et a proposé samedi aux guérilléros qui veulent se démobiliser et libérer les otages une récompense et la possibilité d’aller en France pour bénéficier de l’asile politique. La proposition ne manque pas d’intérêt, selon ces dire certains seraint prêt à  l’accepter et peut-être même à  libérer Ingrid Bétancourt. Mais elle n’est en aucun cas suffisante, car s’il elle peut permettre de fragiliser encore un peu plus les FARC elle ne permettra surement pas d’en finir réellement.

Le problème d’une décomposition totale du mouvement est que cela le rend imprévisible, à  l’image des paramilitaires à  la fin des années 90, ce qui peut générer un certain nombre de problèmes. Le gouvernement a donc tout intérêt à  chercher une grande alliance, autant interne comme international, pour proposer une sortie politique au conflit. La gauche colombienne et la France ont la possibilité de jouer un rôle surement plus important que ne veuille l’admettre les conseillers du président colombien.

Football: France – Colombie

Le 3 juin prochain Il y a un match amical France – Colombie, pour la préparation de l’euro qu’ils disent, mais sauf si je me trompe la Colombie ne participe pas à  cette compétition…. A moins que les Suisses et les Autrichiens aient quelques soucis de géographie. En tout cas je sens que je vais rire, bien rire même. Et je crois que je vais soutenir la Colombie (les Français depuis que Papin regarde des vidéos on les voit plus…). Et si vous voulez aller voir le match au stade de France et que vous m’envoyez deux trois photos (mécrire), avec plaisir je les publie ici. En plus la FFF propose des billets à  10 euros

Le groupe de Colombiens qui vont apprendre à  danser la salsa aux cocoricos sont (j’en connais pas un mais c’est que les compet de salsa je suis moyen à  fond…):
GARDIENS :
Agustin Julio (Independiente Santa Fe), Robinson Zapata (Steaua Bucarest/ROU).
DEFENSEURS :
Ruben Bustos (Internacional/bre), Camilo Zà±iga (Atlético Nacional), Amaranto Perea (Atlético de Madrid/ESP), Walter Moreno (Atlético Nacional), Cristian Zapata (Udinese/ITA), Elvis Gonzlez (Ccuta Deportivo), Pablo Armero (América de Cali).
MILIEUX :
Freddy Guarn (Saint-Etienne/FRA), José Amaya (Atlético Nacional), Yulin Anchico (Independiente Santa Fe), Fabian Vargas (Boca Juniors/ARG), Carlos Sanchez (Valenciennes/FRA), Freddy Grisales (Independiente/ARG), Macnelly Torres (Ccuta Deportivo), Giovanni Hernndez (Atlético Junior), Juan Carlos Escobar (Krilia Sovetov/RUS).
ATTAQUANTS :
Edixon Perea (Gremio/BRE), Radamel Falcao Garca (River Plate/ARG), Hugo Rodallega (Necaxa/MEX), Dayro Moreno (Steaua Bucarest/ROU).

La France et le droit international

Deux articles publiés à  deux jours d’intervalle montrent très bien le double jeu de certains… un exemple parmi tant d’autres.

Le Monde avant hier sur linterdiction des bombes à  munition (qui se convertisse en mine antipersonnelles en général parce que ça explose mal, et ce sont donc les enfant qui perdent à  la fin):

Cette conférence s’inscrit dans un processus initié en février 2007 à  Oslo, où 46 pays avaient adopté une déclaration commune appelant à  l’interdiction d’ici à  2008 “d’utiliser, de produire, de transférer et de stocker” des BASM. L’objectif est de parvenir à  un accord sans ambiguïté, qui aurait la même portée historique que la Convention d’Ottawa, qui avait banni les mines antipersonnelles en 1997.

Ce texte proscrit l’usage, la production et le commerce des BASM, et établit une date butoir de six ans pour la destruction des stocks existants. Il réclame également la décontamination des zones “polluées” et envisage l’aide à  apporter aux victimes. Le document final sera soumis à  la signature de tous les Etats, même ceux n’ayant pas participé au processus d’élaboration, les 2 et 3 décembre prochains à  Oslo.

Les 250 ONG présentes à  la conférence, dont Handicap International, craignent que plusieurs pays ne cherchent à  édulcorer le traité final, notamment la France, l’Afrique du Sud, l’Allemagne, l’Australie, le Canada, le Japon ou le Royaume-Uni.

D’ailleurs Handicap International montre du doigt la France…

Et aujourd’hui dans Le Figaro, la France réélu au conseil des droit de l’homme:

«Il n’y avait que de bons candidats», a commenté avec satisfaction et philosophie l’ambassadeur français des droits de l’homme, François Zimeray. «Cela montre bien qu’on devait faire campagne. Il a fallu arracher les voix avec les dents. Nous avons bien fait de ne pas compter sur la soi-disant réputation et la légitimité de la France en matière des droits de l’homme». Il est vrai qu’au moment où Paris s’apprête à  prendre la présidence de l’Union européenne et à  célébrer le 60ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme signée en décembre 1948 dans la capitale française, un échec aurait été ressenti «comme une gifle».

Une remise en question serait peut être de mise?

Interpol garanti la validité des documents de l’ordinateur de Reyes

Interpol a donné son verdict, les ordinateurs de Raul Reyes n’ont pas été trafiqué. Les documents qui en sortent sont donc considéré comme valide.

Article dans Le monde:

Le Monde a eu accès à  une centaine de courriels qui traitent du Venezuela. “Le président Chavez a accepté sans sourciller la demande de 300”, écrit Ivan Marquez, un autre chef des FARC, après avoir été reçu par M. Chavez à  Caracas le 8 novembre 2007. D’autres courriels laissent penser qu’il s’agit de 300 millions de dollars. “Il faudrait préciser si c’est un prêt ou si c’est de la solidarité”, s’inquiète le dirigeant historique des FARC, Manuel Marulanda.

[…]

En février 2008, une rencontre secrète a lieu entre Ivan Marquez et le président vénézuélien. M. Chavez affirme qu’il dispose des “premiers 50 et d’un calendrier pour compléter les 200 sur l’année”. Il offre aux FARC un “quota de pétrole” et “des vieux lance-pierres qui marchent encore” (des fusils, selon Bogota) en provenance du Nicaragua. M. Marquez écrit : “L’ami de 348-6546-6447-6849-6471-6542 lui a suggéré de travailler le paquet par la voie du marché noir pour éviter des problèmes.” Ce chiffre serait le code pour la Biélorussie, fournisseur d’armes de Caracas. Révélés par le quotidien espagnol El Pais, ces documents ont provoqué la colère de M. Chavez, qui accuse la Colombie et les Etats-Unis d’ourdir un complot contre lui. Le rapport technique d’Interpol ne lèvera pas tous les doutes. “En filtrant les documents au compte-gouttes, Bogota prête le flanc aux suspicions de manipulation politique, note un diplomate latino-américain. On sait que la France a rencontré plusieurs fois les FARC pour obtenir la libération d’Ingrid Betancourt. Or, bizarrement, rien n’a encore paru sur le contenu de ces pourparlers.”

Les documents révélés sont une mine d’informations sur les FARC et leurs relations, émaillées d’incidents, avec le gouvernement vénézuélien. En 2000, M. Chavez reçoit officiellement une délégation des FARC, engagées dans des pourparlers de paix. Déjà , la guérilla fait savoir qu’elle veut de l’argent et des armes. Après la rupture du processus de paix, M. Chavez prend néanmoins ses distances avec les FARC, apparemment sur le conseil des Cubains. Aucune réunion “au sommet” n’aura lieu avant celle de novembre 2007.

Les faits validés sont plus ou moins les même autant chez El Tiempo comme chez El Espectador… Il nous reste à  attendre une réaction du Venezuela, peut être pas de son président, mais des autres…

Un seul truc me chagrine dans cette divulgation d’information, et j’attends avec impatience que cela sorte au grand jours, il n’y a rien sur l’Equateur et son président Correa, ni sur l’armement nucléaire, ni sur les relations française avec les FARC. Le doute restera-t-il complet?