Avant:
Uribe: “Nous ne pouvons accepter que ces bandits abusent des bons offices du président Chavez pour faire de la politique tout en continuant à pratiquer le terrorisme”.
Chavez: promet une preuve de vie avant la fin de l’année, non seulement concernant Mme Ingrid Betancourt mais aussi les autres otages
Haut Commissaire pour la paix (Colombie): “S’il n’existe pas une formule pour la libération des otages, nous devrons comprendre que le travail de médiation n’avance pas”
Après:
Les différents comités Ingrid Betancourt: lance “un appel pressant au président français, Nicolas Sarkozy, pour qu’il intervienne immédiatement auprès de son homologue colombien”.
Ministre de l’économie (Colombie): La fin de la médiation ne mets pas en danger les relations commerciales entre les deux pays.
Uribe: “Nous ne pouvons pas mettre en danger la politique de Sécurité Démocratique”
Haut Commissaire pour la paix (Colombie): “La décision est irrévocable.”
Haut Commissaire pour la paix (Colombie): “Les FARC se sont dédiées à se montrer dans les médias et non à travailler.”
Sarkozy: continue à penser que Chavez est la meilleure option pour libérer les otages.
Le Comité de soutien à Ingrid Betancourt: “Alvaro Uribe a atomisé notre espoir, une nouvelle fois, en pratiquant l’art de l’hécatombe, seule discipline dans laquelle le président colombien est décidé à exceller malheureusement”.
L’armée colombienne: “respecte la décision du président”.
Le gouvernement colombien: pense que Chavez et Cordoba était en train d’établir une agenda parallèle en appelant des fonctionnaires colombiens dans le dos du président.
Le gouvernement colombien: va reprendre ses efforts pour réaliser cet échange, mais en contact direct.
Le gouvernement venezuelien: accepte, c’est une décision souveraine de la Colombie, mais regrette car en seulement 3 mois il y avait eu beaucoup d’avancée.