A lire chez Patrick, Yann Arthus-Bertrand, un brevet bidon d’écologiste criant son “chant d’amour à la terre”
Mais moi, les faux prophètes, les faux hommes politiques honnêtes et les faux écolos, j’arrive encore à les apercevoir.
Sinon ma femme a arrêté de travailler il y a une semaine… non pas pour faire des enfants, comme certains osent me demander, non… simplement pour finir son mémoire de master. Du coup elle reprend son blog, recuerditos:
Al principio pensé que iba a morir otra vez con esa contaminacià³n y los problemas del dàa a dàa que en Colombia no son, como decàa un amigo al que le decàamos el “Monpirryâ€, “papita pa’l loro  Sin embargo, a los dàas de haber llegado y a pesar de haber iniciado el 2008 con sucesos muchas veces difàciles de aceptar y afrontar, me reconcilié una vez mà¡s con mi adorada Bogotà¡ y sus calles y su desorden y su gente y todo lo que me gusta tanto de vivir aquà.
Et pour finir allez voir ma maman, notre maman. Patxi la décrit avec beaucoup d’amour: la mama de l’expat:
Alors ty’es bien content de lui concocter un beau programme de dingue, entre rencontres insolites, personnages lunaires, plaines fertiles de pampas, hauts sommets enneigés, ballades en pirogue amazonienne, trekking titicacesque, animaux incongrus, plages azur parfaitement scandaleuses.
La mama de l’expat, ta mama, elle sort alors son petit appareil photo à molette monochrome,
elle garde ses gants pasque fait pas chaud hein, malgré son K-WAY rouge qui protège, et son imper orange dessous, et la capuche, au cas où, et elle prend sa photo, de son moment à elle, ou elle immortalise une rencontre, un lieu bien à elle, un souffle qui l’inspire.