Assis dans une rue de Cartagena.
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Barichara
Barichara, Santander
Fait chaud!
L’actualité française tourne beaucoup autour de l’environnement ces derniers temps. Nicolas Hulot fait signer son pacte à tout le monde, Chirac tente une sortie onusienne en beauté et l’hiver s’est vraiment fait attendre. L’environnement est (enfin) devenu un thème important pour les médias. C’est bien!
Il nous reste à espérer que le pacte Hulot serve à quelque chose, que l’ONU de l’environnement se crée avant que New York soit sous les eaux et qu’on éteigne la tour Eiffel plus que 5 minutes.
A Bogotà¡ on a aussi droit à la semaine environnement: El Tiempo a mis en ligne pendant une semaine un “dossier” qui ne disait rien mais qui montrait une photo d’un iceberg avec deux gros ours blanc à la dérive… cela voulait tout dire, mais au moins ils en ont parlé. Il faut dire que les gens commencent à se préoccuper. On a droit à des températures record en ville, les cultures sèchent et de nombreux d’incendies ravagent le pays. Au jour d’aujourd’hui 13′
C’est maintenant qu’une petite aide du grand voisin du nord sera la bienvenue, pour une fois Uribe pourrait demander autre chose que des armes…
Le plus triste de l’histoire est que depuis deux mois j’étais super content, je pouvais enfin profiter de la ville avec du soleil. Cela faisait un an et demi que j’attendais ça. Errer dans le parc Simon Bolivar, véritable poumon au milieu de la ville (un peu comme Central Park à New York), était un véritable plaisir. Maintenant ça sent le brûlé.
San Gil
San Gil
Pont colonial, quelques centaines d’années. San Gil, Santander.
fleur
fleur
Bogotá tout vide!
C’est les vacances et tout le monde s’en va, la ville se vide et devient agréable. Pas de bouchon, pas de klaxon; c’est presque dommage de partir!
Ma vue
Version sèche:
Version humide:
Nostalgie
Hier en visitant ce blog je me suis souvenu avec nostalgie de mon premier voyage dans cette immense région. Alors, en souvenir de moments exceptionnels voici une petite photo. J’écrivais à l’époque: Mon entrée en Bolivie se fait par la grande porte, trois jours de traversée de paysages irréels, Dalinesque. Aux pieds des volcans on peut contempler des lagunes rouges sangs, vertes olives ou blanches, remplies de flamants roses et bordées de rochers taillés par le vent… majestueux!
On arrive ensuite sur le Salar d’Uyuni: le spectacle est quasi mythique, tout est recouvert d’eau, les nuages paraissent des montagne, l’horizon se perd…