Pilotage de bus à Bogotá

Les chauffeurs de bus à  Bogotà¡ ont une sérieuse tendance a être agressif et à  ne rien respecter, alors que tout le monde essaye de faire des efforts. Les abrutis étant en général les plus gros, tout le monde se pousse… Le problème arrive (du coin de la rue) lorsqu’un autre véhicule encore plus gros passe le feu au vert sans vraiment se soucier de savoir si les bus vont respecter leur feu rouge.
En image ça donne ça, 13 blessés inclus:
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Nouveauté

La Colombie est toujours sous représentée dans la blogoshère francophone, alors quand il y a du nouveau il faut le dire!
Destination Colombie est un nouveau venu, Carine raconte son instalation pas à  pas. Des infos clé qui peuvent intéresser des (futur(e)s) expats. En parlant d’expat un nouveau site tente de faire sa place, le slogan parle de lui même “be expat, be united”. A voir!
Et comme je suis dans les annonces… j’ai mis un peu à  jour ma page photo.

En route pour Nabusimaque
En route pour Nabusimaque
Sur la route!

Uribe enseigne à Metz

Oui oui … c’est bien cela… L’ancien président colombien, le même qui est responsable de “falsos postivos”, de mille et une corruption, d’avoir mis en pièce un grand nombre d’institution colombienne, etc (je ne vais pas faire la liste a chaque fois!). Je me demande si ce n’est pas un coup pour éviter le justice colombienne qui se rapproche de lui à  grand pas.
En tout cas la description faite sur le site de l’Université est plutôt fofolle:

Né le 4 juillet 1952 à  Medellin, àlvaro Uribe Vélez a assuré les fonctions de Président de la République de Colombie de 2002 à  2010.
Avocat de profession, àlvaro Uribe a étudié à  l’université d’Antioquia puis a suivi une spécialisation en administration et en gestion à  l’université de Harvard, puis à  l’université d’Oxford, où il sera nommé Senior Associate Member at the Saint Antony’s College en 1998.
Successivement maire de Medellà­n, sénateur puis gouverneur de la région d’Antioquia, il est élu président de la République le 26 mai 2002, au premier tour de cette élection à  laquelle il s’est présenté en tant que candidat indépendant.
Son crédo : le rétablissement de l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire, à  travers une politique de « sécurité démocratique », présentée comme un préalable indispensable à  une solution négociée du conflit avec les FARC. Il recrute ainsi 30 000 soldats professionnels, et met en place un réseau de surveillance citoyenne d’un million de personnes. Associé aux Etats-Unis dans leur guerre contre le terrorisme, àlvaro Uribe poursuit le « plan Colombie » contre le trafic de stupéfiants, avec notamment la destruction des champs de coca, mettant à  mal les revenus des FARC, parties prenantes de ce trafic.
En 8 ans, àlvaro Uribe a fait reculer l’insécurité de manière remarquable : ses succès contre les FARC et la réduction de la criminalité ont assis la popularité du président, qui était de 78% à  la fin de son dernier mandat.
àlvaro Uribe a également inscrit le développement quantitatif et qualitatif de la formation des jeunes comme une priorité nationale afin de lutter contre la marginalisation et la pauvreté. C’est ainsi que, via l’organisme national de formation (le SENA) dirigé par Dario Montoya Mejia, àlvaro Uribe a confié à  l’ENIM la modernisation des centres de formation colombiens afin de satisfaire les besoin en compétences des bassins industriels du pays.
En Octobre 2007, à  Carthagène des Indes, àlvaro Uribe est fait ingénieur Honoris Causa de l’ENIM. En 2010, il accepte la fonction de professeur des Universités à  l’ENIM.

j’adore surtout ce bout là : “Son crédo : le rétablissement de l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire” … ça a marché c’est sûr. On pourrait lui demander de de réformer le système universitaire français, il va mal, très mal même.