Entourés pas un large dispositif policier, les manifestants affichaient dans les rues d’Arequipa des pancartes comme « ni Vizcarra, ni Merino, mais le Pérou ». Arturo Merino est le nouveau président de la république, qualifié par une partie de la population de « golpista » (auteur de coup d’Etat), et moqué pour son faible niveau d’études.
Des manifestations similaires ont eu lieu dans le pays, notamment à Lima, où les manifestants ont été dispersées par la police au moyen des fumigènes.